Altug, Xénon et Rapazinho se retrouvent souvent au Café Esperanza, un café exotique et imaginaire, mais qui symbolise tous les cafés du monde ; et ils parlent, parlent, et parlent, de tout et de rien, de l’espoir, de l’existence, de l’art, de l’écriture.
A mesure que le récit avance, on comprend que, alors que nos trois protagonistes débattent du livre qu’écrit chacun d’eux, l’objet de leur conversation est en fait ce récit même qui se déroule sous nos yeux.
Dans ce texte, Ali Teoman propose un discours (...)
Ali Teoman
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Café Esperanza
6 janvier 2010